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dc.contributor.authorZellentin, Alexa
dc.date.accessioned2009-11-03T20:12:51Z
dc.date.available2009-11-03T20:12:51Z
dc.date.issued2009-06
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/3113
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectneutralitéen
dc.subjectlibéralismeen
dc.titleNeutrality as a Twofold Concepten
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractUnder the circumstances of pluralism people often claim that the state ought to be neutral towards its citizens’ conceptions of the good life. However, what it means for the state to be neutral is often unclear. This is partly because there are different conceptions of neutrality and partly because what neutrality entails depends largely on the context in which neutrality is demanded. This paper discusses three different conceptions of neutrality – neutrality of impact, neutrality as equality of opportunity and justificatory neutrality – and analyses the strengths and weaknesses of the different conceptions in different contexts. It suggests that there are two common elements of neutrality in all its exemplifications: a) an element of “hands-off” and b) an element of equal treatment. It therefore argues that while justificatory neutrality is necessary for the state to be neutral it is not sufficient and claims that while conceptions of the good must not enter thejustificationof state regulations, they must be taken into consideration when deliberating theimplementation of these regulations.en
dcterms.abstractIl n’est pas rare, dans des sociétés pluralistes, que les citoyens exigent de leur État qu’il reste neutre eu égard à leurs conceptions de la vie bonne. Il est cependant rare que la notion de neutralité de l’État soit clairement délimitée. Ce manque de clarté s’explique de deux façons: d’une part, pour la raison qu’il existe plusieurs conceptions de la neutralité et, d’autre part, parce que la neutralité dépend essentiellement du contexte dans lequel celle-ci est requise. Cet article examine trois conceptions différentes de la neutralité - neutralité de l’impact, neutralité comme égalité des opportunités et neutralité de la justification - et analyse les forces et les faiblesses de chacune dans des contextes différents. Cette analyse suggère qu’il existe deux éléments constitutifs de la neutralité, communs à toutes ses différentes illustrations: a) un élément de non-intervention et b) un élément de traitement égal. Ainsi, cet article soutient que même si la neutralité de la justification demeure nécessaire pour assurer la neutralité de l’État, elle n’est pourtant pas suffisante, ce qui permet de soutenir que même si les conceptions de la vie bonne ne doivent pas interférer dans le processus de justification des régulations étatiques, elles doivent néanmoins être prises en considération lors des délibérations de la mise en œuvre de ces régulations.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume4
oaire.citationIssue2


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