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dc.contributor.advisorLeclair, Jean
dc.contributor.authorBurlone, Hadrien
dc.date.accessioned2021-09-07T17:51:31Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-09-07T17:51:31Z
dc.date.issued2021-08-12
dc.date.submitted2021-01
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/25641
dc.subjectDépenses électorales des tierces partiesfr
dc.subjectHarper c. Canada (Procureur général)fr
dc.subjectLiberté d’expressionfr
dc.subjectDroits démocratiquesfr
dc.subjectCampagne permanentefr
dc.subjectCommunications électoralesfr
dc.subjectPrimauté des partis politiquesfr
dc.subjectThird party election spendingfr
dc.subjectHarper v. Canada (Attorney General)fr
dc.subjectFreedom of speechfr
dc.subjectDemocratic rightsfr
dc.subjectPermanent campaignfr
dc.subjectElection communicationsfr
dc.subjectPrimacy of Political partiesfr
dc.subject.otherSocial Sciences - Law / Sciences sociales - Droit (UMI : 0398)fr
dc.titleVingt ans après l'arrêt Harper: l'évolution constitutionnelle du plafonnement des dépenses électorales des tierces partiesfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineDroitfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameLL. M.fr
dcterms.abstractCe mémoire cherche à déterminer si la logique de la majorité de la Cour suprême dans l’arrêt Harper c. Canada (Procureur général) demeure valide aujourd’hui, près de deux décennies après que cet arrêt, qui avalise le régime de plafonnement des dépenses électorales des tierces parties, ait été rendu. À cette fin, le régime de plafonnement prévu par la Loi électorale du Canada est examiné en détail, de même que les motifs de la majorité. Ces préliminaires achevés, le cœur de l’analyse est entamé. Trois phénomènes sont étudiés pour déterminer si le raisonnement de la majorité dans Harper doit être remis ou non en question : l’avènement d’une dynamique de « campagne permanente », la monté des technologies de l’information et le déclin des partis politiques. Il est conclu que la logique déployée dans l’arrêt Harper demeure valide, mais qu’elle appelle certains changements à la Loi électorale actuelle. À cet effet, les plafonds préélectoraux des tiers devraient être éliminés et l’usage de sites internet personnels ou de compte de médias sociaux devrait être assujetti à un régime de plafonnement.fr
dcterms.abstractThis work seeks to determine whether the reasoning of the Supreme Court majority in Harper v. Canada (Attorney General), which validates third parties’ spending limits during the election period,still avails almost two decades after being rendered. The limits on third parties' spending as established by the Canada Election Act are examined in detail. The majority’s reasons are also discussed at length. Then, the core analysis begins. Three new social phenomena are examined to determine whether the Court’s reasoning in Harper should be called into question. These phenomena are: the advent of a “permanent campaign” in Canada, the rise of new information technologies and the decline of political parties. It is concluded that Harper’s logic remains highly compelling, though it may entail some modifications to the current electoral law, such as the abolition of pre-electoral spending limits and the application of some form of limitation to electoral spending regarding personal web sites and social media account.fr
dcterms.languagefrafr


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