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dc.contributor.authorPiché, Claude
dc.date.accessioned2021-02-24T16:47:39Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-02-24T16:47:39Z
dc.date.issued1992
dc.identifier.urihttps://www.jstor.org/stable/24654495
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/24882
dc.publisherBrill Academic Publishersfr
dc.subjectLyotardfr
dc.subjectKantfr
dc.subjectPhilosophiefr
dc.subjectDifférendfr
dc.subjectCritiquefr
dc.subjectEsthétiquefr
dc.subjectArtfr
dc.subjectPhilosophyfr
dc.subjectDifferendfr
dc.subjectAestheticsfr
dc.titleThe philosopher-artist : a note on Lyotard's reading of Kantfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractPrenant appui sur Le Différend et sur d’autres textes de Lyotard, j’entends faire voir ce que ce dernier doit à Kant pour sa propre conception de la philosophie comme « critique ». Si Kant considère la critique et la doctrine comme étant deux étapes successives dans le discours philosophique, la philosophie de Lyotard ne vise pas, quant à elle, à établir une doctrine. C’est dire que Lyotard trouve son modèle de philosophie dans la Critique de la faculté de juger qui, contrairement aux deux autres Critiques, ne débouche pas sur une doctrine. En d’autres mots, Lyotard retient du kantisme le paradigme esthétique. Dans sa philosophie, aucune règle ni concept ne sont donnés à l’avance. Le philosophe se doit d’« inventer » la règle et en ceci il procède comme l’artiste. On se souvient de la définition kantienne du génie : ce talent (don naturel) qui donne sa règle à l’art.fr
dcterms.abstractAnalysing The Differend and other works of Lyotard, I intend to show what he owes to Kant for his own conception of philosophy as “critique.” If Kant sees in critique and doctrine two successive steps in the philosophical discourse, Lyotard’s philosophy does not aim at establishing any doctrine. This means that his model for philosophy is the Critique of Judgment, which as opposed to the first two Critiques does not open up on a doctrine. In other words, Lyotard takes advantage the aesthetic paradigm in Kant’s criticism. For his philosophy, no rule nor concept is given in advance. The philosopher has to “invent” the rule and in this he or she operates like the artist, especially when we remember the Kantian definition of genius the talent (natural gift) that gives art its rule.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0085-5553fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1569-1640fr
dcterms.languageengfr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantISSN 0085-5553 (Research in Phenomenology, XXII, 1992) p. 152-160.fr
UdeM.VersionRioxxVersion originale de l'auteur·e / Author's Originalfr
oaire.citationTitleResearch in phenomenologyfr
oaire.citationVolume22fr
oaire.citationStartPage152fr
oaire.citationEndPage160fr


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