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dc.contributor.authorPiché, Claude
dc.date.accessioned2021-02-22T15:56:41Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-02-22T15:56:41Z
dc.date.issued1998
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/24866
dc.publisherPhilosophy Documentation Centerfr
dc.subjectFichtefr
dc.subjectJacobifr
dc.subjectBeckfr
dc.subjectIdéalismefr
dc.subjectAffectionfr
dc.subjectChose en soifr
dc.subjectSensationfr
dc.subjectSentimentfr
dc.subjectIdealismfr
dc.subjectThing in itselffr
dc.subjectFeelingfr
dc.titleThe role of feeling in Fichte’s rejection of the thing in itselffr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dc.identifier.doi10.5840/IDSTUDIES1998281/23
dcterms.abstractIl est permis de voir dans la doctrine de la science de Fichte une tentative visant à conférer toute sa plausibilité à l’affirmation de Jacobi selon laquelle la philosophie transcendantale de Kant, si elle est comprise de manière conséquente, constitue la forme la plus radicale d’idéalisme. Or, pour montrer la cohérence de cet idéalisme, Fichte se doit de surmonter l’embarras de Jacobi face au problème de l’« objet qui affecte » dans la CRP. Je soutiens ici que la solution de Fichte au problème de l’affection consiste à remplacer la « sensation » par le « sentiment », ou plus précisément à substituer à la dimension objective de la sensation quelque chose d’entièrement subjectif : le sentiment. Fichte connaît les définitions kantiennes et il est parfaitement conscient du déplacement qu’il opère. Sauf qu’à la fin, il est contraint d’admettre la contingence absolue de cette « limitation du Je » qu’est le sentiment.fr
dcterms.abstractFichte’s doctrine of science can be seen as an attempt to make sense of the assertion of Jacobi according to which Kant’s transcendental philosophy, when understood correctly, amounts to the strongest form of idealism. Yet, in order to show the soundness of such an idealism, Fichte has to confront Jacobi’s problem concerning the nature of the infamous « object that affects » in the CPR. I argue in this paper that Fichte’s solution to the problem of affection consists in replacing “sensation” by “feeling,” or more precisely in substituting the objective dimension of sensation for something totally subjective: feeling. Fichte is well acquainted with the Kantian definitions and he is perfectly conscious of the shift he is making here. In the end however, he is obliged to admit the absolute contingency of this “limitation of the I” which defines feeling.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0046-8541fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:2153-8239fr
dcterms.languageengfr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantISSN 0046-8541 p. 71-82. (nom de la revue: Idealistic Studies)fr
UdeM.VersionRioxxVersion originale de l'auteur·e / Author's Originalfr
oaire.citationTitleIdealistic studiesfr
oaire.citationVolume28fr
oaire.citationIssue1/2 (Winter/Spring 1998)fr
oaire.citationStartPage71fr
oaire.citationEndPage82fr


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