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dc.contributor.authorDietsch, Peter
dc.date.accessioned2008-07-23T16:44:12Z
dc.date.available2008-07-23T16:44:12Z
dc.date.issued2006-05
dc.identifier.urihttp://www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf/ATELIERS_VOL1N1_06_88_102.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2478
dc.format.extent121183 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.subjectéthiqueen
dc.subjectéthique publiqueen
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectéthique normativeen
dc.titleFinancing higher education : the case for a graduate taxen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractThe debate whether university education should be “free” seems misconstrued. Even in a system without tuition fees, someone will have to foot the bill. This paper argues that from the viewpoint of justice, a strong case can be made in higher education for adopting the beneficiary pays principle, and for institutionalising it in the form of a graduate tax.My evaluation from the perspective of justice will focus on the comparison between a “free”university system funded through the general tax system on the one hand, and one financed through a graduate tax on the other. On the beneficiary pays principle defended here, the regressive nature of the general-tax-funded higher education system renders it unjust. Furthermore,I believe we have three reasons to favour a graduate tax in practice. First,I will suggest that it does a better job at implementing the beneficiary pays principle. Second, I will argue that even though the distributive outcome of a corrected general-tax-funded education may be just, it is unlikely to be perceived to be just. A third point of comparison between the two approaches to fund higher education will be international mobility,which will reinforce the case for a graduate tax from the viewpoint of justice.en
dcterms.abstractLe débat portant sur la question de savoir si l'éducation universitaire devrait être « gratuite » paraît mal fondé. Même un système sans aucun frais de scolarité doit bien faire acquitter la facture par quelqu’un. Cet article soutient que du point de vue de la justice, un argument solide peut être établi en faveur du principe du bénéficiaire–payeur en éducation supérieure, ainsi que pour l'institutionnaliser sous forme d'impôt gradué. Ma perspective se concentrera sur la comparaison entre,d'une part,un système universitaire « gratuit » financé par le système fiscal général et, d’autre part, un système financé par un impôt gradué. Sur la toile de fond du principe du bénéficiaire–payeur que je soutiens, la nature régressive du financement par impôt général rend cette dernière option injuste.En outre,je crois que nous avons trois raisons de favoriser dans la pratique un impôt gradué.Tout d'abord, je démontrerai qu'un tel impôt met en application le principe du bénéficiaire–payeur de meilleure façon. En second lieu, je soutiendrai que même si les conséquences distributives d’un système d'éducation financé par un impôt général étaient justes,il aurait peu de chances d'être perçu comme étant juste.Un troisième point de comparaison entre les deux approches de financement de l'éducation supérieure sera la mobilité internationale, qui renforce l’argument pour un impôt gradué du point de vue de la justice.en
dcterms.descriptionArticleen
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume1
oaire.citationIssue1
oaire.citationStartPage88
oaire.citationEndPage102


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