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dc.contributor.advisorLefebvre, Guy
dc.contributor.authorKost de Sèvres, Nicolette
dc.date.accessioned2008-07-14T14:06:48Z
dc.date.available2008-07-14T14:06:48Z
dc.date.issued2007-03
dc.date.submitted2005-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2452
dc.format.extent5912529 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.subjectArbitrage commercial internationalfr
dc.subjectConvention d'arbitragefr
dc.subjectConsentement à l'arbitragefr
dc.subjectForme écritefr
dc.subjectConditions de formefr
dc.subjectConvention de New York de 1958fr
dc.subjectLoi type de la CNUDCI sur l'arbitrage commercial internationalfr
dc.subjectInternational commercial arbitrationen
dc.subjectArbitration clauseen
dc.subjectConsent to arbitrationen
dc.subjectWritten formen
dc.subjectFormal requirementsen
dc.subject1958 New York: Conventionen
dc.subjectUNCITRAL Model Law on International Commercial Arbitrationen
dc.titleLe consentement à la convention d'arbitrage commercial international : évolution et développement récents en droit québécois et en droit internationalen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertationen
etd.degree.disciplineDroit des affairesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelMaîtrise / Master's
etd.degree.nameLL. M.
dcterms.abstractL'arbitrage évolue parallèlement et en accord au développement du commerce et des relations internationales s'accompagnant d'un accroissement des différends commerciaux de plus en plus complexes et spécialisés. En choisissant l'arbitrage, les parties excluent, de manière consensuelle, la compétence juridictionnelle des tribunaux étatiques. Ce droit à l'accès aux tribunaux étatiques se retrouve notamment à la Charte québécoise des droits et libertés de la personne. La validité d'une convention d'arbitrage dépend donc avant tout de la preuve de son existence et la preuve du consentement des parties s'y rattachant. La nécessité de l'écrit est donc un moyen de s'assurer du consentement des parties. La Convention de New York de 1958 énumère plusieurs de ces principes de forme. Son article 11(2), qui prévoit que la convention d'arbitrage doit être par écrit, n'est plus adapté aux réalités juridiques et commerciales d'aujourd'hui ni au développement du commerce électronique. Que peut être considéré comme un écrit afin de répondre aux exigences de l'article 1I(2)? Abordée par la CNUDCI, cette problématique quant au formalisme requis dans l'expression de la volonté des parties à se soumettre à l'arbitrage est d'une importance capitale dans la mesure des différentes interprétations qui existent à ce sujet tant au niveau du droit québécois et canadien qu'au niveau du droit international. Une réforme des dispositions législatives quant au formalisme écrit du consentement à l'arbitrage doit être mise en place et ce, soit par une réforme des dispositions législatives existantes ou par une mise à jour officielle de l'interprétation donnée aux dispositions actuelles en vigueur.fr
dcterms.abstractArbitration has evolved in parallel and in accordance with the development of commerce and of international relations coming along with the rise of commercial disputes which are becoming increasingly complex and specialised. By choosing arbitration, the parties consensually exclude the jurisdiction ofState courts. This right to access State courts is protected namely in the Charter ofHuman Rights and Freedoms. The validity of an arbitration clause therefore depends above all on the proof of its existence and of the consent of the parties to that effect. The necessity of the written form becomes a mean that insures of the consent of the parties. The 1958 New York Convention enumerates several of those formal requirements. !ts section 11(2), which states that the arbitration clause has to be in written form, is not adapted to today's legal and commercial reality nor to the development of electronic commerce. What exactly is considered as ''written'' in order to respect the requirements of section 1I(2)? As addressed by UNCITRAL, the issue concerning the formalism required for the expression of the parties' intent to be subjected to arbitration is of a vital importance. Numerous interpretations exist in Canadian law as well as in International law. A reform of the existing legal provisions relating to the consent of arbitration needs to be implemented, either through a reform of the existing provisions or through an official process to update the interpretation given to the requirements that are a1ready in place.en
dcterms.description"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option droit des affaires"en
dcterms.languagefraen


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