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dc.contributor.advisorWemmers, Jo-Anne
dc.contributor.advisorParent, Hugues
dc.contributor.authorPilon, Joliane
dc.date.accessioned2021-01-25T19:39:00Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-01-25T19:39:00Z
dc.date.issued2020-06-09
dc.date.submitted2019-02
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/24453
dc.subjectVictimesfr
dc.subjectTémoinsfr
dc.subjectStatutfr
dc.subjectRôlefr
dc.subjectDroits des victimesfr
dc.subjectProcès pénalfr
dc.subjectVictimologiefr
dc.subjectWitnessfr
dc.subjectRolefr
dc.subjectStatusfr
dc.subjectVictim's rightsfr
dc.subjectCriminal trialfr
dc.subjectVictimologyfr
dc.subjectVictimfr
dc.subject.otherSocial Sciences - Law / Sciences sociales - Droit (UMI : 0398)fr
dc.titleLa victime d'acte criminel : l'injustice d'une partie évincée du procèsfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineDroitfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameLL. M.fr
dcterms.abstractLes victimes d’actes criminels, dans notre système de justice pénale, vivent un sentiment d’injustice face à la façon dont elles sont traitées dans le cadre du procès. Nous sommes passés d’un système de droit pénal, où la victime était à la fois l’instigatrice et le point central, à un système où la victime s’est vue reléguer au seul plan de témoin. Notre système l’a évincé en devenant un système bi-partie ou le litige se situe entre l’État et l’accusé. Plusieurs raisons ont mené à ce changement, entre autre la présomption d’innocence et il n’est pas question de revenir en arrière à un système barbare. Toutefois, il est impossible de ne pas voir les conséquences néfastes que la situation actuelle engendre. Ce sentiment d’injustice mène assurément à une perte de confiance des victimes et par conséquent de la population en notre système. Il faut donc rééquilibrer la situation et redonner un certain sentiment de justice aux victimes. Certaines tentatives ont été faites par le gouvernement, mais ce n’est pas suffisant. Un simple énoncé de principes ne peut pas remédier à tout, il doit s’agir d’actions plus concrètes. Nous proposons que ces actions doivent être d’inclure la victime dans les protections constitutionnelles à l’instar de l’accusé et de lui octroyer un statut de participant lors du procès.fr
dcterms.abstractVictims in today’s criminal justice system are living with feelings of injustice because of the way they are treated during their trials. We have gone from a system where the victim was the instigator of the proceedings, to one where he is relegated to simply being the victim. Our system has ousted them by involving only two parties: the State and the accused. This change happened for many reasons, the main one being the presumption of innocence and, therefore, returning to a barbaric system is out of the question. However, it is impossible not to see the negative consequences of the current system. The injustice felt by the victims leads to a loss of confidence in our criminal justice system, not only by the victims themselves, but by the general population as well. Consequently, there is an important need to rebalance the system and help victims recover the sense of justice that they have lost. There have been attempts by the Government, however they have revealed themselves to be insufficient. A government policy statement cannot be the only solution, concrete action is required. We propose that these actions should be to constitutionally protect victims’ rights, similarly to those of the accused and make the victim an active participant during criminal trials.fr
dcterms.languagefrafr


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