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dc.contributor.advisorBandini, Aude
dc.contributor.authorHerda, Felix
dc.date.accessioned2021-01-22T16:40:01Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-01-22T16:40:01Z
dc.date.issued2020-12-16
dc.date.submitted2020-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/24357
dc.subjectÉpistémologiefr
dc.subjectAttributions de connaissancefr
dc.subjectScepticismefr
dc.subjectDavid Lewisfr
dc.subjectContextualismefr
dc.subjectEpistemologyfr
dc.subjectKnowledge Attributionsfr
dc.subjectSkepticismfr
dc.subjectContextualismfr
dc.subject.otherPhilosophy / Philosophie (UMI : 0422)fr
dc.titleLe contextualisme de David Lewis : une réponse au défi du scepticismefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePhilosophiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractCe mémoire présente une analyse critique de la solution contextualiste de David Lewis au problème sceptique. Pour Lewis, il s’agit d’un problème de possibilités d’erreur à éliminer. En effet, puisque l’on ne peut pas éliminer diverses hypothèses sceptiques, il semble que la connaissance soit impossible. Ce travail est d’abord une présentation du problème sceptique et de la solution que Lewis lui apporte. On verra que son objectif est de rendre compte de la plausibilité de l’argument sceptique tout en protégeant certaines intuitions au sujet de la connaissance. Ainsi, la théorie de Lewis explique quelles sont les présuppositions qu’il est légitime d’entretenir dans les attributions de connaissance. Ces attributions sont les énoncés de type « S sait que P ». On verra que cela prend la forme d’une théorie contextualiste des possibilités d’erreur pertinentes. Ce travail vise ensuite à situer la thèse de Lewis dans la littérature sur le contextualisme épistémique, c’est-à-dire en général, l’idée selon laquelle le contexte de conversation joue un rôle dans la détermination de la valeur de vérité d’une attribution de connaissance. Nous verrons que les solutions contextualistes au problème sceptique peuvent avoir des résultats significativement différents. Enfin, ce travail présentera des critiques importantes sur Elusive Knowledge. Elles prendront la forme d’un retour sur la manière dont Lewis conçoit le problème du scepticisme et celui de l’élimination des possibilités d’erreur.fr
dcterms.abstractThis thesis is a critical analysis of David Lewis’s contextualist solution to the skeptical problem. The skeptical problem, for Lewis, is a problem of relevant possibilities of error : given that we cannot rule out various skeptical hypotheses, it seems that knowledge is impossible. The first chapter introduces Lewis’s solution to skepticism. We’ll see that his aim is to account for the plausibility of the skeptical argument, while at the same time to protect some of our intuitions concerning knowledge. To that end, Lewis’s solution points to the specific possibilities which can be properly ignored in our knowledge attributions. Knowledge attributions are sentences like « S knows that P. » We’ll see that this explanation takes the form of a contextualist theory about relevant possibilities of error. The second chapter’s task is to locate Lewis’s theory within the literature on epistemic contextualism. Epistemic contextualism, in general, is the claim that the truth value of knowledge attributions is strongly determined by the context of the conversation. But, as this chapter should emphasize, several solutions to skepticism may share the « contextualist » label, while yielding significantly different results. The final chapter will address some important objections to Elusive Knowledge. They are related to the reasons why, according to Lewis, skepticism is a genuine problem for epistemology; on the other hand, they question the notion of elimination of error possibilities.fr
dcterms.languagefrafr


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