Inconsistances entre les mesures évaluant les difficultés cognitives chez des survivants de leucémie aigüe lymphoblastique : description et compréhension
dc.contributor.advisor | Sultan, Serge | |
dc.contributor.author | Leclerc, Andrée-Anne | |
dc.date.accessioned | 2020-02-28T16:51:30Z | |
dc.date.available | NO_RESTRICTION | fr |
dc.date.available | 2020-02-28T16:51:30Z | |
dc.date.issued | 2019-08-30 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/23109 | |
dc.subject | Survivant | fr |
dc.subject | Cancer pédiatrique | fr |
dc.subject | Difficultés cognitives | fr |
dc.subject | Questionnaire auto-rapporté | fr |
dc.subject | Test cognitif | fr |
dc.subject | Attention | fr |
dc.subject | Mémoire de travail | fr |
dc.subject | Neuropsychologie clinique | fr |
dc.title | Inconsistances entre les mesures évaluant les difficultés cognitives chez des survivants de leucémie aigüe lymphoblastique : description et compréhension | fr |
dc.type | Travail étudiant / Student work | fr |
etd.degree.discipline | Psychologie clinique | fr |
dcterms.abstract | Introduction – Le taux de survie de la leucémie aigüe lymphoblastique (LAL) dépasse aujourd’hui 90 %. En dépit de traitements moins toxiques, environ 50 % des survivants leucémie aigüe lymphoblastique (LAL) présentent au moins une séquelle cognitive cliniquement significative à long terme. Un problème central quant à l’évaluation cognitive est la présence d’écarts entre les résultats aux tests et les plaintes auto-rapportées. Les hypothèses émises pour expliquer ce phénomène sont nombreuses et mal connues. Objectifs – (1) Décrire les écarts entre les difficultés testées et celles auto-rapportées pour les domaines de la mémoire de travail et de l’attention. (2) Évaluer si la détresse émotionnelle, la dépression, l’anxiété, les affects positifs et négatifs et la fatigue permettent d’expliquer ces écarts. Méthodes – Nous avons utilisé les données disponibles pour 138 adultes survivants de LAL pédiatrique (cohorte PETALE). La mémoire de travail et l’attention des survivants ont été évaluées avec le WAIS-IV et via des questionnaires auto-rapportés (BRIEF-SR et CAARS-S:L). L’évaluation affective incluait la détresse émotionnelle (BSI-18), les affects (PANAS) et la fatigue (PedsQL-MFS). Nous explorons les écarts à l’aide d’indices diagnostiques, et les expliquons dans des modèles de régression multivariés. Résultats – Les déficits en mémoire de travail et en attention sont rapportés par 10 à 11 % des survivants, alors qu’ils sont objectivés chez 15 à 21 % d’entre eux. Les mesures auto-rapportées ne permettent pas d’identifier les déficits objectifs (sensibilité = 0.05-0.16). L’affectivité négative permet d’expliquer partiellement les écarts individuels retrouvés entre ces deux types de mesures au profit des difficultés auto-rapportées. Conclusions – L’évaluation cognitive testée et celle auto-rapportée par les survivants doivent être considérées comme des réalités différentes dont les écarts sont probablement influencés par le statut psychologique des répondants. | fr |
dcterms.description | Essai doctoral présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l’obtention du grade de Doctorat en neuropsychologie clinique (D. Psy.) | fr |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.cycle | Études aux cycles supérieurs / Graduate studies | fr |
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