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dc.contributor.authorDukanic, Filip
dc.date.accessioned2020-02-03T16:38:33Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2020-02-03T16:38:33Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/23013
dc.subjectIntermédialitéfr
dc.subjectManipulationfr
dc.subjectScènefr
dc.subjectDispositiffr
dc.subjectCommunicationfr
dc.titleManipulations médiatiques dans la sphère esthétique contemporainefr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dc.identifier.doi10.5937/kultura1858058D
dcterms.abstractLe présent texte vise à comprendre les enjeux médiatiques les plus récents dans le domaine de l’art scénique et la façon dont ils repensent les possibilités d’atteinte de l’aire perceptuelle du spectateur. Pour ce faire, dans un premier temps, nous allons présenter quelques exemples où les technologies nouvelles modifient ou remettent en cause certains aspects culturelles, tel que l’éducation, mettant ainsi à mal les règles établies. Nous allons ensuite analyser l’installation scénique Stifters Dinge de Heiner Goebbels. Notre démarche sera de l’analyser selon une perspective intermédiale pour soutenir l’hypothèse pouvant être ainsi formulée : la création artistique Stifters Dinge manipule l’expérience esthétique du spectateur car elle repose sur un acte de communication médiatique et non sur un acte rhétorique. En outre, par l’utilisation de dispositifs audio-visuels, l’installation scénique développe un langage scénique spécifique reposant sur les illusions optiques, sur l’immersion, sur la mise en scène de machines complexes. Dans un deuxième temps, nous allons aborder le cadre conceptuel du paradigme communicatif dont l’application permettra à la fois une meilleure appréhension de la forme sous laquelle ce spectacle apparaît et une mise en perspective plus large du phénomène théorique dans lequel il s’inscrit. Dans cette section, nous nous appuierons essentiellement sur les ouvrages d’Yves Citton, de Jean-Marc Larrue, de Branko et Dejana Prnjat, de Rémy Rieffel et de Violeta JelacicSrbulj. L’hypothèse de travail présentée dans le cadre de cette seconde section suppose que cette forme artistique nouvelle, reliant les médias, le théâtre et les arts plastiques crée un nouveau modèle de la politique culturelle, basé sur une hybridation des technologies et de l’art.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0023-5164fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:2406-0372fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantDOI : 10.5937/kultura1858058Dfr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Recordfr
oaire.citationTitleKultura
oaire.citationIssue158
oaire.citationStartPage58
oaire.citationEndPage72


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