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dc.contributor.authorDion, Michel
dc.date.accessioned2019-10-29T15:13:26Z
dc.date.available2019-10-29T15:13:26Z
dc.date.issued2019-10-28
dc.identifier.urihttp://ethique-economique.net
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/22395
dc.publisherCentre de recherche en éthiquefr
dc.subjectPhilosophy
dc.subjectPhilosophie
dc.subjectEthics
dc.subjectÉthique
dc.subjectEconomics et économie
dc.subjectCorporate social responsibility
dc.subjectHumanizing processes of the world
dc.subjectCorporate moral discourse
dc.subjectResponsabilité sociale de l’entreprise
dc.subjectHumanisation du monde
dc.subjectDiscours moral corporatif
dc.titleLa philosophie au secours des rapports de responsabilité sociale de l’entreprise, ou comment dépasser les limites d’un discours "aphilosophique" sur la responsabilité : Première Partie – Responsabilité et humanisation du mondefr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractCorporate moral discourse too often evolves without any philosophical foundation. It builds up its own rules and limitations of social acceptability. It does not bother with philosophical traditions. Corporate moral discourse then becomes « aphilosophical ». Nonetheless, it could benefit from a connectedness with various philosophies. In this article, we will see how some 20th century philosophies could shed new light on corporate moral responsibility and humanizing processes of the whole world : John Rawls, Hannah Arendt, Jean-Paul Sartre, and Emmanuel Mounier. The analysis of fifteen (15) corporate social responsibility/sustainable development reports from North America (USA and Canada), Europe (United Kingdom, Switzerland, Denmark, Sweden, Norway, Spain) and Asia (Japan) will show the limitations of corporate moral discourse, from a perspective of conceptual unity and axiological coherence.fr
dcterms.abstractLe discours moral corporatif évolue trop souvent sans aucun fondement philosophique. Il élabore ses propres règles et limites d’acceptabilité sociale. Il ne se préoccupe aucunement des traditions philosophiques. Le discours moral corporatif devient alors « aphilosophique ». Pourtant, il pourrait bénéficier d’une étroite relation avec différentes philosophies. Dans cet article, nous verrons comment certaines philosophies du 20è siècle pourrait fournir un éclairage neuf sur la responsabilité morale corporative et sur les processus d’humanisation du monde : John Rawls, Hannah Arendt, Jean-Paul Sartre et Emmanuel Mounier. L’analyse de quinze (15) rapports de responsabilité sociale de l’entreprise et de développement durable en provenance de l’Amérique du Nord (États-Unis, Canada), d’Europe (Royaume-Uni, Suisse, Danemark, Suède, Norvège et Espagne) et d’Asie (Japon) montrera les limites du discours moral corporatif, dans une perspective d’unité conceptuelle et de cohérence axiologique.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1639-1306
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Recordfr
oaire.citationTitleÉthique et économique = Ethics and economics
oaire.citationVolume16
oaire.citationIssue2


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