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dc.contributor.advisorBarthélemy, Dorothy
dc.contributor.authorBertrand, Jean-Christophe
dc.contributor.authorDion, Frédéric
dc.contributor.authorDesjardins, Samuel
dc.contributor.authorLaganière, Vincent
dc.date.accessioned2019-09-04T12:51:19Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-09-04T12:51:19Z
dc.date.issued2019-05-31
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/22352
dc.subjectCommotion cérébralefr
dc.subjectTraumatisme crânien cérébral légerfr
dc.subjectCascade neurométaboliquefr
dc.subjectTests de détectionfr
dc.subjectDéficitfr
dc.subjectTraitementfr
dc.subjectEncéphalopathie traumatique chroniquefr
dc.titleRevue de la littérature des principaux aspects de la prise en charge des commotions cérébrales chez les sportifs âgés de plus de 13 ansfr
dc.typeTravail étudiant / Student workfr
etd.degree.disciplinePhysiothérapiefr
dcterms.abstractIntroduction/problématique. Entre 1,6 et 3,8 millions de commotions cérébrales ont été recensées en 2006 aux États-Unis Pourtant, les connaissances auprès de la population canadienne sont insuffisantes. En effet, un canadien sur deux possède peu ou pas de connaissance sur les commotions cérébrales et seulement quatre canadiens sur dix connaissent les outils offerts pour la prise en charge d’une commotion. Objectif(s): Réaliser une revue narrative dans le but de conscientiser les principaux intervenants (physiothérapeutes, athlètes, parents, entraineurs) à propos de la prise en charge des commotions cérébrales dans le sport. Description sommaire ou stratégie méthodologique : Une recension des écrits a été effectuée à partir des bases de recherche suivantes : Embase, Medline, EBM review et Global Health. Résultats : La prise en charge débute avec la détection de la commotion jusqu’à la prévention des conséquences chroniques de cette dernière. Les différents outils de dépistage des commotions cérébrales (SCAT, King-Devick, VOMS) sont utiles pour la prise en charge de celles-ci. Cependant, de plus en plus d’évidences démontrent des déficits persistants malgré des résultats normaux à ces différents tests. Si les symptômes persistent plus de dix jours, il devient nécessaire pour le physiothérapeute d’investiguer au niveau vestibulaire, cervical et psychologique. Finalement, le retour au jeu précoce et non adéquat ainsi que l’addition de multiple impacts cérébraux mènent à des changements et à des déficits importants à long terme. Conclusion : Le physiothérapeute doit jouer un rôle de prévention en effectuant une bonne éducation des différentes parties prenantes. Il doit également offrir une prise en charge ainsi que des traitements en accord avec les évidences les plus probantes.fr
dcterms.descriptionTravail présenté à : Mme Dorothy Barthélemy, Pht, Ph D. dans le cadre du cours PHT-6123fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.cycleÉtudes aux cycles supérieurs / Graduate studiesfr


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