Un roman, ses langues. Prolégomènes
dc.contributor.author | Melançon, Benoît | |
dc.date.accessioned | 2019-07-02T13:20:45Z | |
dc.date.available | NO_RESTRICTION | fr |
dc.date.available | 2019-07-02T13:20:45Z | |
dc.date.issued | 2016 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/22193 | |
dc.publisher | Presses de l’Université de Montréal | fr |
dc.title | Un roman, ses langues. Prolégomènes | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue française | fr |
dc.identifier.doi | 10.7202/1036927ar | |
dcterms.abstract | À partir d’un corpus d’une quarantaine de romans, souvent publiés par de jeunes maisons d’édition, l’auteur essaie de répondre à la question suivante : qu’est-ce que la langue du roman québécois au début du xxie siècle ? Deux grandes conceptions linguistiques peuvent y être distinguées. Certains romanciers tentent de cadastrer la langue de leurs personnages, soit en en faisant l’objet de réflexions métadiscursives, soit en ayant recours à des procédés typographiques pour distinguer les registres linguistiques. D’autres donnent l’impression de se tenir à l’écart des débats qui ont si longtemps occupé les écrivains québécois. Ils refusent de hiérarchiser les langues du roman, voire de thématiser leur interaction. Le roman n’est pas l’espace où penser la langue, mais où la faire résonner. Devant leurs textes, on peut se demander si l’idée de « surconscience linguistique » (Lise Gauvin) est la clé de compréhension la plus efficace du roman québécois depuis 2000. Peut-on plutôt parler d’une position décomplexée par rapport aux débats sur la langue, décomplexée par rapport à la norme réputée française ou décomplexée par rapport à la tradition romanesque québécoise ? | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:0014-2085 | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1492-1405 | fr |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.ORCIDAuteurThese | 0000-0003-3637-3135 | |
UdeM.ReferenceFournieParDeposant | Melançon, Benoît, «Un roman, ses langues. Prolégomènes», Études françaises, 52, 2, 2016, p. 105-118. | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | fr |
oaire.citationTitle | Études françaises | |
oaire.citationVolume | 52 | |
oaire.citationIssue | 2 | |
oaire.citationStartPage | 105 | |
oaire.citationEndPage | 118 |
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