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dc.contributor.advisorLoewen, Brad
dc.contributor.authorGratton, Olivier
dc.date.accessioned2019-04-18T16:49:58Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-04-18T16:49:58Z
dc.date.issued2019-03-13
dc.date.submitted2018-09
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21573
dc.subjectCulture matériellefr
dc.subjectRéseau commercialfr
dc.subjectÉconomie-mondefr
dc.subjectMarchand écossaisfr
dc.subjectHistoirefr
dc.subjectMontréalfr
dc.subjectDébut du XIXe sièclefr
dc.subjectEmpire britanniquefr
dc.subjectMaterial culturefr
dc.subjectCommercial networkfr
dc.subjectWorld-economyfr
dc.subjectScottish merchantfr
dc.subjectHistoryfr
dc.subjectMontréalfr
dc.subjectBeginning of the XIXth centuryfr
dc.subjectBritish Empirefr
dc.subject.otherAnthropology - Archaeology / Anthropologie - Archéologie (UMI : 0324)fr
dc.titleArchéologie d’un marchand loyaliste à Montréal, 1805-1815. James Dunlop, son réseau, et l’économie-monde transatlantiquefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineAnthropologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractCe mémoire porte sur l’étude de la culture matérielle de la période allant de 1805 à 1815 sur le site de fondation de Montréal (BjFj-101). Durant cette décennie, le site possède une vocation commerciale et appartient au marchand d’origine écossaise James Dunlop. Le mémoire se donne comme objectif d’élaborer le réseau d’échange de James Dunlop à partir des provenances de la culture matérielle étudiée. Ce réseau est inséré dans le cadre économique plus large de l’Empire britannique du début du XIXe siècle afin de mieux comprendre les choix commerciaux de Dunlop et la place du site au sein de ce réseau. Pour arriver à cet objectif, nous avons d’abord reconstitué les structures et les contextes stratigraphiques de la Période V du site (1805 à 1842), qui regroupent 63 296 témoins. Dans cette collection, nous avons analysés les artéfacts contemporains à Dunlop afin de dresser un portrait des marchandises qui transitaient sur le site durant la décennie allant de 1805 à 1815. Trois ensembles de témoins sont particulièrement indicatifs des affaires de James Dunlop: les céramiques, les contenants d’alcool et les matières premières que sont le bois, la potasse et le blé. La céramique et l’alcool révèlent des importations de l’Ouest britannique, particulièrement Glasgow qui était pour Dunlop la base à ses affaires dans la métropole britannique. Inversement, les matières premières tirées du Canada, étaient exportées vers la métropole et les colonies antillaises, et constituaient les principales sources de revenus de Dunlop. Si ce type de réseau commercial était typique de son époque, l’agentivité de Dunlop nous donne un nouvel angle de vue sur les affaires des marchands coloniaux. Loin d’être un seul représentant de la métropole, Dunlop basait ses affaires à Montréal et pouvait réagir rapidement à l’évolution conjoncturelle du marché britannique et vendre ses produits canadiens dans les termes qui lui étaient les plus avantageux.fr
dcterms.abstractThis thesis focuses on the material culture of the period from 1805 to 1815 on the site of Montreal’s foundation (BjFj-101). During this decade, the site had a commercial vocation and belonged to the Scottish merchant James Dunlop. The overall goal is to elaborate the commercial network of James Dunlop from the provenances of the material culture in the study. The reconstructed network will then be inserted in the greater economic frame of the early 19th century British Empire to better understand the commercial choices of Dunlop and the place of Montreal’s foundation site inside his network. To attain this objective, we have reconstructed the stratigraphic contexts and buildings of the site’s Period V (1805-1842), which holds 63 296 artefacts and ecofacts. Using this assemblage, we have studied the materials that are contemporary with Dunlop, in order to gain a picture of the goods and wares that transited the site during the decade 1805-1815. Three groups of materials are particularly indicative of James Dunlop’s business: ceramics, alcohol containers, and raw materials like timber, potash and wheat. Ceramic and alcohol show the importance of the importations from the western United Kingdom, especially Glasgow, which was Dunlop’s base in the British Isles. Inversely, the Canadian raw materials, the principal source of Dunlop’s income, were exported to Britain and the West Indies colonies. While this kind of trade network was typical of its time, the agency of James Dunlop gives us a new angle on the business of colonial merchants. Far from being a simple representative of British interest, Dunlop based his business in Montréal and could react swiftly to the changes in the British market in order to sell Canadian products on the most advantageous terms for him.fr
dcterms.languagefrafr


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