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dc.contributor.advisorBégin, Richard
dc.contributor.authorHamel, Louis-Philippe
dc.date.accessioned2018-05-30T15:49:20Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-05-30T15:49:20Z
dc.date.issued2018-03-21
dc.date.submitted2017-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/20169
dc.subjectcoolfr
dc.subjectcoolnessfr
dc.subjectprotagoniste criminelfr
dc.subjectcriminal protagonistfr
dc.subjectgangsterfr
dc.subjectfilm de crimefr
dc.subjectcrime filmfr
dc.subjectQuentin Tarantinofr
dc.subject.otherCommunications and the Arts - Cinema / Communications et les arts - Cinéma (UMI : 0900)fr
dc.title«Cool crime films» : tendance cool de la représentation de la criminalité dans le cinéma des années quatre-vingt-dixfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineÉtudes cinématographiquesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractDurant les années quatre-vingt-dix, un nombre important de films de crime marqués d’une relation particulière à la «coolness» sont apparus sous l’impulsion d’une poignée d’exemples «majeurs», permettant ainsi l’institution au fil de la décennie d’une «tendance cool» au sein du «genre». Ce fut tant grâce à leurs personnages criminels—arborant plus consciemment que jamais une attitude et une esthétique cool—qu’à une volonté d’explorer divers procédés de mise en forme garants d’une certaine «coolness» que le cinéma de Quentin Tarantino, de Joel et Ethan Coen, de David Lynch, de Steven Soderbergh et de Jim Jarmusch se présentait alors comme fer de lance d’une telle tendance. Tout en offrant une perspective historique sur le concept du «cool» et sur le film de crime en tant que genre, la présente étude suggère d’analyser la relation du cinéma du crime des années quatre-vingt-dix à la «coolness»—telle que représentée tant à travers ses personnages criminels qu’à travers l’organisation de ses matériaux cinématographiques.fr
dcterms.abstractDuring the nineteen-nineties, an important number of crime films marked by a distinctive relationship to coolness started to appear under the influence of a handful of “major” examples, thus allowing the establishment of a “cool tendency” within the “genre”. It was as much thanks to their criminal characters—who, in a very conscious manner, displayed cool attitudes and aesthetics—as to their willingness to explore miscellaneous structural elements that could be viewed as cool that the cinema of Quentin Tarantino, Joel and Ethan Coen, David Lynch, Steven Soderbergh and Jim Jarmusch spearheaded this tendency. By offering an historical perspective on the concept of cool and on the crime film as a genre, this study suggests an analysis of the relationship between the cinema of crime of the nineteen-nineties and coolness—as depicted through its criminal characters and through the organisation of its cinematographic materials.fr
dcterms.languagefrafr


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