dc.contributor.author | St-Germain, Félix | |
dc.date.accessioned | 2017-11-13T17:58:53Z | |
dc.date.available | 2017-11-13T17:58:53Z | |
dc.date.issued | 2017-12 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/19615 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | Nietzsche et Bergson : élan vital et volonté de puissance contre la métaphysique de la représentation | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | L’articulation des thèmes de l’évolution et de la création entreprise par Bergson dans l’Évolution créatrice s’accomplit à travers une critique interne de la métaphysique de la représentation, selon l’expression de G. Deleuze. Bergson y engage une refonte de la métaphysique en faveur d’une réintégration du « sujet » dans le mouvement différenciel de la vie, affranchi de l’idée paralysante de substance. À la spatialisation et à la rationalisation médiatisantes de l’interprétation intellectuelle du monde il substitue alors la temporalisation immédiate de la durée, libérée par la méthode de l’intuition. Son objectif consiste à accorder la durée intuitive du sujet désubstantialisé à la durée primordiale de l’élan vital, image par excellence de son « évolutionnisme vrai ». De même chez Nietzsche, la pensée de la volonté de puissance a pour vocation la déshumanisation du monde pour l’accès au courant prérationnel, pulsionnel et archiconstituant de la vie. Or la similitude entre la méthode physio-psychologique de Nietzsche et la méthode intuitive de Bergson révèle par la négative un préjugé humaniste dans l’élan vital, orientée ultimement vers l’homme et au profit de celui-ci. Il s’agit donc de montrer à la lumière d’une étude comparative entre Nietzsche et Bergson que l’élan vital demeure, malgré l’ambition de son auteur, transi d’une interprétation « humaine, trop humaine », et par extension toujours prisonnière de la métaphysique de la représentation. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationIssue | 21 | |
oaire.citationStartPage | 243 | |
oaire.citationEndPage | 265 | |