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dc.contributor.advisorSeymour, Michel
dc.contributor.authorDuhamel, Vincent
dc.date.accessioned2017-05-08T19:24:07Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2017-05-08T19:24:07Z
dc.date.issued2017-03-28
dc.date.submitted2016-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/18477
dc.subjectSavoir-fairefr
dc.subjectConnaissancefr
dc.subjectÉpistémologiefr
dc.subjectIntellectualismefr
dc.subjectAnti-intellectualismefr
dc.subjectExpertisefr
dc.subjectCapacitéfr
dc.subjectDispositionfr
dc.subjectGilbert Rylefr
dc.subjectJason Stanleyfr
dc.subjectKnowing howfr
dc.subjectKnowledgefr
dc.subjectEpistemologyfr
dc.subjectIntellectualismfr
dc.subjectAnti-intellectualismfr
dc.subjectAbilityfr
dc.subject.otherPhilosophy / Philosophie (UMI : 0422)fr
dc.titleSavoir et savoir-faire : la connaissance pratique entre intellectualisme et anti-intellectualismefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePhilosophiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractL'objectif de cette thèse est de présenter une conception du savoir-faire qui permette d'éviter les principales difficultés auxquelles font face les deux grandes familles de théories dans le débat sur la nature du savoir-faire – l'intellectualisme et l'anti-intellectualisme. Pour les intellectualistes, le savoir-faire doit généralement être conçu comme une forme de connaissance propositionnelle, c'est-à-dire une connaissance des faits. À l'opposé, pour les anti-intellectualistes, le savoir-faire doit généralement être conçu comme une forme de capacité ou de disposition. Dans ce texte, j'analyse en détail les implications propres à ces diverses manières de concevoir le savoir-faire et j’identifie les problèmes importants auxquels elles font face. Par exemple, contre l'intellectualisme, on peut douter qu'il suffise de connaître un certain nombre de faits à propos de la natation pour savoir nager. À l'opposé, contre, l'anti-intellectualisme, on peut demander s’il faut absolument être capable de nager pour savoir nager. Afin d'éviter les problèmes propres à ces deux théories, je défends une conception hybride qui présente le savoir-faire au sens restreint et la connaissance pratique au sens large comme des formes de savoir qui doivent s'établir sur une connaissance minimale des faits, mais qui sont irréductibles à cette connaissance des faits et qui peuvent s'accroître sans l'apprentissage de nouveaux faits.fr
dcterms.abstractThe goal of this thesis is to present a theory of knowing how which avoids the main problems plaguing the two major types of positions in this debate – intellectualism and anti-intellectualism. According to the intellectualists, knowing how must generally be understood as a species of propositional knowledge. That is, knowing how to do something is knowing a certain amount of facts about that activity. Conversely, according to the anti-intellectualists, knowing how must generally be understood as the possession of some form of capacity or disposition. In this text, I explore in details the implications associated with each position and highlight the main challenges they need to overcome. For instance, against intellectualism, one may doubt that knowing how to swim is merely a matter of knowing facts about swimming. Conversely, against anti-intellectualism, one may ask whether one really needs to be able to swim to know how to swim. In order to avoid the problems undermining both theories, I argue for a hybrid conception which presents knowing how in a strict sense and practical knowledge in a wider sense as types of knowledge which are based on a minimal knowledge of facts, though they cannot be reduced to this knowledge of facts and can grow without learning more facts.fr
dcterms.languagefrafr


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