Afficher la notice

dc.contributor.advisorNoël, Alain
dc.contributor.authorDurocher, Dominic
dc.date.accessioned2016-11-15T15:43:46Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2016-11-15T15:43:46Z
dc.date.issued2016-09-28
dc.date.submitted2016-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/16220
dc.subjectparadoxe de la redistributionfr
dc.subjectredistributionfr
dc.subjectciblagefr
dc.subjectuniversalismefr
dc.subjectredistribution paradoxfr
dc.subjectredistributionfr
dc.subjecttargetingfr
dc.subjectuniversalismfr
dc.subject.otherPolitical Science - General / Science politique - Généralités (UMI : 0615)fr
dc.titleRéconcilier universalisme et ciblage : l’évolution du paradoxe de la redistribution depuis la fin des années 1980fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineScience politiquefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractLe Paradoxe de la redistribution de Walter Korpi et Joakim Palme (1998) postule que les États-providences qui ont des dépenses sociales moins ciblées redistribuent davantage. Ive Marx, Lina Salanauskaite et Gerlinde Verbist (2013) ont toutefois constaté que le paradoxe démontré grâce à une corrélation entre un indice de redistribution et un indice de ciblage des dépenses sociales n'était plus valide dans les années 2000. En reproduisant les corrélations, il apparaît que l'augmentation importante du ciblage dans des pays qui redistribuent beaucoup comme le Danemark et la Suède est la principale cause de la disparition de la corrélation entre redistribution et ciblage. Lors des crises économiques dans les années 1980 et 1990, les prestations maximales déjà relativement faibles ainsi que la volonté de maintenir les prestations minimums et les taux de remplacement de la part des partis sociaux-démocrates ont poussé les gouvernements danois et suédois à réduire les prestations maximales afin de limiter l’augmentation des dépenses, augmentant ainsi le ciblage des dépenses sociales tout en préservant le caractère universel des programmes. L’augmentation du ciblage des dépenses sociales n’a pas eu d’effets négatifs sur la redistribution particulièrement au Danemark où la redistribution a augmenté et les inégalités diminué entre la fin des années 80 et le milieu des années 2000.fr
dcterms.abstractThe Paradox of redistribution by Walter Korpi and Joakim Palme (1998) posits that welfare states that have less targeted social spending redistribute more. However, Ive Marx, Lina Salanauskaite and Gerlinde Verbist (2013) found that the correlation between the social spending targeting index and the redistribution index that demonstrates the paradox has weakened in the 2000s. By replicating the correlations, it seems that the increase targeting of social spending in countries with high redistribution like Denmark and Sweden is the main cause behind the weakening of the correlation between targeting and redistribution. During the economic crisis of the 80s and 90s, the already low maximum benefits and the will of social-democratic parties to maintain the minimal benefits and replacement rate led Danish and Swedish governments to reduce maximum benefits to restrain the increase of social spending, thus increasing the targeting of social spending without sacrificing universalism.fr
dcterms.languagefrafr


Fichier·s constituant ce document

Vignette

Ce document figure dans la ou les collections suivantes

Afficher la notice

Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Il peut être utilisé dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale, à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu comme le prévoit la Loi. Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.