Job et la providence de Dieu chez Thomas d’Aquin
| dc.contributor.author | Duhaime, Jean | |
| dc.date.accessioned | 2007-10-08T15:15:07Z | |
| dc.date.available | 2007-10-08T15:15:07Z | |
| dc.date.issued | 2007-10-08T15:15:07Z | |
| dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/1470 | |
| dc.format.extent | 70578 bytes | |
| dc.format.mimetype | application/pdf | |
| dc.subject | Bible, Ancien Testament, Job (livre de) | en |
| dc.subject | Thomas d'Aquin (saint) | en |
| dc.subject | Expositio super Job ad litteram | en |
| dc.subject | Providence divine | en |
| dc.subject | Théologie catholique | en |
| dc.title | Job et la providence de Dieu chez Thomas d’Aquin | en |
| dc.type | Présentation hors congrès / Non-conference presentation | en |
| dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Institut d'études religieuses | fr |
| dcterms.abstract | Parmi les auteurs chrétiens qui ont traité le livre de Job sous l’angle de la providence, Thomas d’Aquin (c.1225-1274) occupe une place particulière. Ce penseur exceptionnel a rédigé un commentaire du livre de Job (Expositio super Job ad litteram), vraisemblablement entre 1261 et 1264, alors qu’il enseignait en Italie, au couvent dominicain d’Orvieto. Il s’agit d’un commentaire continu qui cherche le sens « littéral » du texte. Je propose ici de parcourir ce commentaire en relevant les principaux passages où Thomas d’Aquin aborde la question de la providence. Ce repérage nous permettra de dégager la cohérence de son argumentation. En guise de conclusion, je signale ensuite la réponse critique d’un auteur contemporain, Timothy P. Jackson. | en |
| dcterms.description | Conférence donnée le 22 mars 2006 au Dialogue judéo-chrétien de Montréal. ©Jean Duhaime, 2006. | en |
| dcterms.language | fra | en |
Fichier·s constituant ce document
Ce document figure dans la ou les collections suivantes
Ce document diffusé sur Papyrus est la propriété exclusive des titulaires des droits d'auteur et est protégé par la Loi sur le droit d'auteur (L.R.C. (1985), ch. C-42). Il peut être utilisé dans le cadre d'une utilisation équitable et non commerciale, à des fins d'étude privée ou de recherche, de critique ou de compte-rendu comme le prévoit la Loi. Pour toute autre utilisation, une autorisation écrite des titulaires des droits d'auteur sera nécessaire.