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dc.contributor.advisorBoivin, Rémi
dc.contributor.authorGagnon-Fontaine, Mélissa
dc.date.accessioned2016-06-16T14:44:20Z
dc.date.available2016-06-16T14:44:20Z
dc.date.issued2015-10
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/13941
dc.subjectComportement policierfr
dc.subjectPolicefr
dc.subjectEnvironnementfr
dc.subjectÉcologiefr
dc.subjectVigueurfr
dc.subjectRuralfr
dc.subjectPolice behaviorfr
dc.subjectPolicefr
dc.subjectEnvironmentfr
dc.subjectEcologyfr
dc.subjectVigorfr
dc.subjectRural policingfr
dc.titleLes variations spatiales du comportement policier: l'exemple de la Sûreté du Québecfr
dc.typeTravail étudiant / Student work
etd.degree.disciplineCriminologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractAfin d’expliquer les variations spatiales de la criminalité, quelques théories ont été avancées, comme celle de la désorganisation sociale (Shaw & McKay, 1969) et celle du choix rationnel (Clarke & Cornish, 1985), en prenant en compte la possible influence de l’environnement. Il apparait également que la réponse au crime, personnifiée par la police, n’est pas non plus spatialement uniforme. La première théorie écologique du comportement policier est celle de Klinger (1997), où la vigueur policière serait inversement proportionnelle à la charge de travail de la police, la déviance et la désorganisation sociale. Postérieurement, des études sont effectuées avec des résultats concordant plus ou moins avec la théorie. L’objectif de la présente étude est de faire une analyse spatiale du comportement policier de la Sûreté du Québec. Les résultats indiquent que la vigueur policière est plutôt liée positivement avec la charge de travail et certaines variables de la désorganisation. Des liens variés sont observés avec la déviance. Ces résultats s’opposent à la théorie de Klinger. Dans sa théorie, Klinger prend en compte l’environnement global du policier. Toutefois, le policier prend ses décisions surtout considérant son environnement immédiat, par exemple le suspect ou la victime. Une théorie écologique du comportement policier devrait prendre en compte non seulement l’environnement global du policier, mais aussi son environnement immédiat.fr
dcterms.abstractIn order to explain spatial variations in crime, some theories were proposed, such as social disorganisation (Shaw & McKay, 1969) and rational choice (Clarke & Cornish, 1985), taking into account the possible influence of the environment. It also appears that the reaction to crime, personified par the police, vary into space. The first ecological theory of police behavior is the one from Klinger (1997), where police vigor is inversely proportional to police workload, deviance and social disorganisation. Results from later studies are more or less consistent with the theory. The objective of this study is to make a spatial analysis of police behavior of the Sûreté du Québec. The results suggest that police vigor is positively associated with police workload and some variables of social disorganisation. Associations with deviance are varied. These results contrast with Klinger’s theory. In his theory, Klinger considers the overall environment of the police officer. However, the officer bases his decisions in regard of his immediate surroundings, for example the suspect or the victim. An ecological theory of police behavior should take into account not only the overall environment of the officer, but also its immediate surroundings.fr
dcterms.descriptionTravail dirigé présenté en vue de l’obtention du grade de maîtrise en criminologie option sécurité intérieurefr
dcterms.languagefrafr
UdeM.cycleÉtudes aux cycles supérieurs / Graduate studies


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