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dc.contributor.advisorHarting, Heike
dc.contributor.authorKarimi, Golnar
dc.date.accessioned2016-04-12T19:18:10Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2016-04-12T19:18:10Z
dc.date.issued2016-03-23fr
dc.date.submitted2015-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/13481
dc.subjectSoyinkafr
dc.subjectlanguefr
dc.subjectrituelfr
dc.subjectchant funèbrefr
dc.subjectl'anglaisfr
dc.subjectlanguagefr
dc.subjectEnglishfr
dc.subjectsongfr
dc.subjectdancefr
dc.subjectthrenodyfr
dc.subject.otherLiterature - English / Littérature - Anglaise (UMI : 0593)fr
dc.titleLinguistic imperialism : a study of language and yoruba rituals in Wole Soyinka’s Death and the king’s horsemanfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineÉtudes anglaisesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractL’objectif de ce mémoire est de démontrer le rôle important de la langue dans la pièce de théâtre Death and the King’s Horseman par l’auteur nigérian Wole Soyinka. Le premier chapitre traite les implications de l'écriture d'un texte postcolonial dans la langue anglaise et revisite les débats linguistiques des années 1950 et 1960. En plus de l'anglais, ce mémoire observe l'utilisation d'autres formes de communication telles que l'anglais, le pidgin nigérian, les dialectes locaux et les métaphores Yoruba. Par conséquent, l'intersection entre la langue et la culture devient évidente à travers la description des rituels. La dernière partie de ce mémoire explore l'objectif principal de Soyinka de créer une «essence thrénodique». Avec l'utilisation de masques rituels, de la danse et de la musique, il développe un type de dialogue qui dépasse les limites de la forme écrite et est accessible seulement à ceux qui sont équipés de sensibilités culturelles Yoruba.fr
dcterms.abstractThe aim of this thesis is to demonstrate the significant role of language in the development of the play Death and King’s Horseman by Nigerian author Wole Soyinka. The first chapter discusses the implications of writing a postcolonial text in the English language and revisits the language debates of the 1950s and 1960s. In addition to English, the thesis observes the use of other forms of communication such as Nigerian Pidgin English, local dialects, and Yoruba metaphors. Consequently, the intersection between language and culture becomes apparent through the description of the rituals. The final section of the thesis explores Soyinka’s primary focus of creating a “threnodic essence.” With the use of ritual masks, dance and music, he develops a type of dialogue that transcends the written form and is accessible only to those who are equipped with Yoruba cultural sensibilities.fr
dcterms.languageengfr


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