dc.contributor.author | Fradet, Pierre-Alexandre | |
dc.date.accessioned | 2016-03-11T22:05:30Z | |
dc.date.available | 2016-03-11T22:05:30Z | |
dc.date.issued | 2011 | |
dc.identifier.uri | http://www.revueithaque.org/fichiers/Ithaque8/07Fradet.pdf | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/13316 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | Bergson, Heidegger et la question du possible: le renversement d’une conception classique | |
dc.type | Article | |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Quel est le statut ontologique du « possible » et du « réel » ? Sous l’angle de la substance, de la notion et du temps, l’un prend-il le pas sur l’autre, l’un est-il prioritaire ? Alors qu’Aristote et Hegel ont défendu l’idée que le réel jouit d’une primauté sur le possible, Heidegger et Bergson ont avancé la thèse inverse : ils ont laissé entendre que le possible a préséance sur le réel. Le dessein que nous poursuivrons ici possède deux volets : d’une part, nous chercherons à souligner la distance qui sépare le couple Aristote/Hegel de la pensée heideggérienne sur la question du possible ; d’autre part, et en particulier, nous tâcherons de montrer que si la thèse que soutient Bergson s’éloigne en apparence largement de la conception classique, elle la rejoint malgré tout à bien des égards. | |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationIssue | 8 | |
oaire.citationStartPage | 97 | |
oaire.citationEndPage | 117 | |