Social movements and environmentalism, a Luhmannian view
dc.contributor.advisor | Hamel, Pierre | |
dc.contributor.author | Penescu, Andreea Roxana | |
dc.date.accessioned | 2015-05-25T16:24:36Z | |
dc.date.available | NO_RESTRICTION | fr |
dc.date.available | 2015-05-25T16:24:36Z | |
dc.date.issued | 2015-04-30 | |
dc.date.submitted | 2014-09 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/11981 | |
dc.subject | Mouvements sociaux | fr |
dc.subject | Environnementalisme | fr |
dc.subject | Niklas Luhmann | fr |
dc.subject | Social movements | fr |
dc.subject | Environmentalism | fr |
dc.subject.other | Sociology - Theory and Methods / Sociologie - Théorie et méthodes (UMI : 0344) | fr |
dc.title | Social movements and environmentalism, a Luhmannian view | fr |
dc.type | Thèse ou mémoire / Thesis or Dissertation | |
etd.degree.discipline | Sociologie | fr |
etd.degree.grantor | Université de Montréal | fr |
etd.degree.level | Doctorat / Doctoral | fr |
etd.degree.name | Ph. D. | fr |
dcterms.abstract | Depuis les années cinquante la sociologie a été concernée par le phénomène des mouvements sociaux. Diverses théories ont essayé de les expliquer. Du collective behaviour à la mobilisation des ressources, par l`entremise de processus politiques, et de la perspective de framing jusqu'à la théorie des nouveaux mouvements sociaux, la sociologie a trouvé certains moyens pour expliquer ces phénomènes. Bien que toutes ces perspectives couvrent et saisissent des facettes importantes des angles de l'action collective, ils le font de manière disparate, en regardant un côté et en omettant l'autre. Les différences entre les points de vue proviennent, d'une part, d'un changement dans les contextes sociaux, historiques et scientifiques, et d'autre part du fait que les différentes approches ne posent pas les mêmes questions, même si certaines questions se chevauchent. Poser des questions différentes amène à considérer des aspects différents. En conséquence, ce n'est pas seulement une question de donner une réponse différente à la même question, mais aussi une question de regarder le même objet d'étude, à partir d'un angle différent. Cette situation réside à la base de la première partie de ma thèse principale: le champ de la théorie des mouvements sociaux n'est pas suffisant, ni suffisamment intégré pour expliquer l'action collective et nous avons besoin d'une théorie plus complète afin d'obtenir une meilleure compréhension des mouvements et la façon dont ils remplissent leur rôle de précurseurs de changement dans la société. Par conséquent, je considère que nous avons besoin d'une théorie qui est en mesure d'examiner tous les aspects des mouvements en même temps et, en outre, est capable de regarder au-delà de la forme de l'objet d’étude afin de se concentrer sur l'objet lui-même. Cela m'amène à la deuxième partie de l'argument, qui est l'affirmation selon laquelle la théorie générale des systèmes telle que formulée par Niklas Luhmann peut contribuer à une meilleure compréhension de l'action collective. Il s'agit d'une théorie intégrale qui peut compléter le domaine de la théorie de l`action collective en nous fournissant les outils nécessaires pour rechercher dynamiquement les mouvements sociaux et de les comprendre dans le contexte social en perpétuel changement. Une analyse du mouvement environnementaliste sera utilisé pour montrer comment les outils fournis par cette théorie nous permettent de mieux comprendre non seulement les mouvements sociaux, mais également le contexte dans lequel ils fonctionnent, comment ils remplissent leur rôle, comment ils évoluent et comment ils changent aussi la société. | fr |
dcterms.abstract | Since the fifties sociology has been concerned with the phenomenon of social movements. Various theories tried to explain them. From collective behaviour to resource mobilization, through political processes and framing perspective all the way to the theory of new social movements, sociology found ways to explain these phenomena. Although all these perspectives cover and capture important facets and angles of collective action, they do so in disparate ways, looking at one side and neglecting the other. The differences between the perspectives come, on the one hand, from a change in the social, historical and scientific contexts, and on the other hand from the fact that the various approaches don’t ask the same questions, even though some questions overlap. Asking different questions leads to looking at different things. Thus, it is not only a matter of giving a different answer to the same question, but also a matter of looking at the same object of study from a different angle. This situation resides at the root of the first part of my main thesis: the field of social movement theory is not sufficient nor integrated enough to explain collective action and we need a more comprehensive theory in order to obtain a better understanding of movements and the way in which they fulfill their role of promoters of change in society. Hence, I consider that we need a theory that is able to look at all facets of the movements at the same time and furthermore, is able to look beyond the form of the object in order to focus on the object itself. This brings me to the second part of the argument, which is the claim that the general systems theory as formulated by Niklas Luhmann can contribute to a better understanding of collective action. It is a comprehensive theory that can supplement the field of social movement theory by providing us with the necessary tools to look dynamically at social movements and understand them within the shifting social context. An analysis of environmentalism will be used to show how the tools provided by this communication theory help us to better understand not only social movements but also the context in which they function, how they fulfill their role, how they are changed and in turn change society as well. | fr |
dcterms.language | eng | fr |
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