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dc.contributor.advisorBardini, Thierry
dc.contributor.authorMichaux, Julien
dc.date.accessioned2015-03-19T13:23:50Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2015-03-19T13:23:50Z
dc.date.issued2015-02-18
dc.date.submitted2014-09
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/11603
dc.subjectGISfr
dc.subjectGeographic Information Systemfr
dc.subjectGouvernancefr
dc.subjectOpenStreetMapfr
dc.subjectGoogle Mapsfr
dc.subjectappropriationfr
dc.subjectaction collectivefr
dc.subjectgeolocalisationfr
dc.subjectville intelligentefr
dc.subjectMontréalfr
dc.subjectgovernancefr
dc.subjectCollective Actionfr
dc.subjectMontrealfr
dc.subjectsmart cityfr
dc.subject.otherSociology - General / Sociologie - Généralités (UMI : 0626)fr
dc.titleExploring geolocation governance perspectives through the study of appropriation and collective action
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineCommunicationfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractCe mémoire de maîtrise a été rédigé dans l’objectif d’explorer une inégalité. Une inégalité dans les pratiques liées à la saisie et l’exploitation des données utilisateur dans la sphère des technologies et services Web, plus particulièrement dans la sphère des GIS (Geographic Information Systems). En 2014, de nombreuses entreprises exploitent les données de leurs utilisateurs afin d’améliorer leurs services ou générer du revenu publicitaire. Du côté de la sphère publique et gouvernementale, ce changement n’a pas été effectué. Ainsi, les gouvernements fédéraux et municipaux sont démunis de données qui permettraient d’améliorer les infrastructures et services publics. Des villes à travers le monde essayent d’améliorer leurs services et de devenir « intelligentes » mais sont dépourvues de ressources et de savoir faire pour assurer une transition respectueuse de la vie privée et des souhaits des citadins. Comment une ville peut-elle créer des jeux de données géo-référencés sans enfreindre les droits des citadins ? Dans l’objectif de répondre à ces interrogations, nous avons réalisé une étude comparative entre l’utilisation d’OpenStreetMap (OSM) et de Google Maps (GM). Grâce à une série d’entretiens avec des utilisateurs de GM et d’OSM, nous avons pu comprendre les significations et les valeurs d’usages de ces deux plateformes. Une analyse mobilisant les concepts de l’appropriation, de l’action collective et des perspectives critiques variées nous a permis d’analyser nos données d’entretiens pour comprendre les enjeux et problèmes derrière l’utilisation de technologies de géolocalisation, ainsi que ceux liés à la contribution des utilisateurs à ces GIS. Suite à cette analyse, la compréhension de la contribution et de l’utilisation de ces services a été recontextualisée pour explorer les moyens potentiels que les villes ont d’utiliser les technologies de géolocalisation afin d’améliorer leurs infrastructures publiques en respectant leurs citoyens.fr
dcterms.abstractThis master’s thesis was started to explore an inequality. An inequality in the way users of mobile web services hand over data, and an inequality in the way this data are exploited. As it becomes commonplace for web companies to exploit their users’ data to improve their services or generate advertising revenue, the public domain is left in the dark, with little data to work with to improve public services. Notably, as cities are increasingly striving to become ‘smart’, a lack of data and ethical ways in which to exploit what little data exists is becoming increasingly problematic. How can a city create georeferenced data to improve its infrastructures? How can this data be exploited whilst respecting citizens’ privacy and security? Through a comparative study of the use of OpenStreetMap (OSM), an open-source mapping platform, and Google Maps, we have aimed to understand possible future uses of GPS technologies by government bodies. Through a series of interviews with OSM and Google Maps users, we have apprehended why users choose to use and contribute to a platform, and not to another. Using the concepts of appropriation and collective action, as well as critical perspectives from the study of immaterial capitalism, this data was then analyzed. This enabled us to understand the underlying issues behind use and contribution practices in the GIS sector. This understanding was then recontextualized in order to understand what government bodies could do to create ethical smart cities that take into consideration the preferences and concerns of the citizens these cities are increasingly designed to serve.fr
dcterms.languageengfr


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