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dc.contributor.advisorAbdel-Baki, Amal
dc.contributor.advisorRousseau, Cécile
dc.contributor.authorArtaud, Laurence
dc.date.accessioned2014-09-30T18:43:08Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2014-09-30T18:43:08Z
dc.date.issued2014-09-22
dc.date.submitted2013-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/11036
dc.subjectObservancefr
dc.subjectSchizophréniefr
dc.subjectMaladie bipolairefr
dc.subjectPremier épisode psychotiquefr
dc.subjectRecherche qualitativefr
dc.subjectCompliancefr
dc.subjectSchizophreniafr
dc.subjectBipolar disorderfr
dc.subjectFirst-episode psychosisfr
dc.subjectQualitative researchfr
dc.subject.otherHealth Sciences - Mental Health / Sciences de la santé - Santé mentale (UMI : 0347)fr
dc.titleObservance en début de psychose : acceptation, refus ou processus?fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences biomédicalesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractObjectifs: Les études quantitatives ont documenté l’ampleur des problèmes d’observance en début de psychose et les conséquences cliniques qui en découlent. La compréhension du phénomène demeure toutefois limitée. Notre étude propose d’explorer, à partir de trois perspectives (celles des patients, des proches et des cliniciens), les raisons pour lesquelles les patients en début de psychose acceptent ou refusent les traitements. Méthode: La collecte des données s’est faite à l’aide d’entrevues individuelles semi-structurées auprès de 18 patients d’une clinique spécialisée en psychose débutante classifiés comme étant observants, ambivalents ou non observants, et auprès de 13 de leurs proches, ainsi qu’à l’aide d’un focus group réunissant 8 cliniciens de la clinique. Résultats: L’observance semble s’inscrire dans un processus marqué par une certaine ambivalence pour la plupart des sujets. Cette ambivalence est modulée par: des enjeux identitaires, des enjeux relationnels, la compréhension du diagnostic et la signification du traitement. Conclusion: L’ambivalence et l’inobservance seraient des étapes normales du processus au cours duquel le patient lutte pour reconstruire son identité. La présence d’un lien de confiance permet la résolution progressive de l’ambivalence, facilitant ainsi le processus de réappropriation du traitement par le patient.fr
dcterms.abstractObjective: Quantitative studies have documented the extent of compliance issues in early psychosis and the ensuing clinical consequences. However, an in-depth understanding of this phenomenon remains limited. Drawing upon the perspectives of a sample of patients, their families, and clinicians, this study explores why patients suffering from early-stage psychosis accept or refuse treatment. Method: Data collection was conducted using semi-structured individual interviews with 18 patients from a clinic specializing in early psychosis who were identified as compliant, ambivalent or non-compliant. In addition, interviews were conducted with 13 of their family members, as well as a focus group composed of 8 clinicians working at the clinic. Results: For the majority of patients, compliance appeared to evolve according to a process characterized by varying degrees of ambivalence. In particular, identity issues, relational issues, the understanding of the diagnosis, and the meaning of treatment were key to understanding patients’ sense of ambivalence. Conclusion: Ambivalence and non-compliance can be seen as normal stages of a process whereby the patient struggles to rebuild his or her sense of self and constructs their ongoing identity. A relationship of trust may facilitate a gradual resolution of the ambivalence, promoting a patient’s sense of ownership and empowerment in the context of treatment.fr
dcterms.languagefrafr


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