End-of-Life Decisions and Advanced Old Age
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BioéthiqueOnline ; vol. 3.Publisher(s)
Université de Montréal. Programmes de bioéthique.Association des étudiants de bioéthique de l'École de santé publique de l'Université de Montréal.
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Malgré que la plupart des gens meurent à un âge avancé, peu d’attention est accordée aux cas impliquant des personnes âgées dans les débats sur les dimensions morales et juridiques de la prise de décision de fin de vie. Le but de cet article est de déterminer de quelle manière nos discussions devraient changer à mesure que nous prêtons attention aux facteurs importants influençant les décisions de fin de vie pour les personnes en âge avancé. Mettant l’accent sur la prévalence des comorbidités ainsi que la probabilité que les gens en âge avancé connaîtront une longue période de déclin de leurs fonctions avant de mourir, je soutiens que nos débats devraient être élargis pour inclure une plus grande considération à la façon dont nous voulons vivre dans les phases finales de la vie. Avec cela, je plaide contre la tendance à penser que la prise de décisions de « fin de vie » ne concerne que la prise de décisions concernant le moment et la façon dont il convient de mettre fin à la vie d’une personne. Je soutiens, en outre, que nous devrions sortir de la médicalisation de la mort. Despite the fact that most people die in advanced old age, little attention is given to cases involving older people in debates about the moral and legal dimensions of end-of-life decision making. The purpose of this paper is to establish some of the ways our discussions should change as we pay attention to important factors influencing end-of-life decisions for people in advanced old age. Focusing on the prevalence of comorbidities and the likelihood that people in advanced old age will experience an extended period of declining function before death, I argue that our debates should be expanded to include greater consideration of how we want to live in the final stages of life. With this, I am arguing against the tendency to think that “end-of-life” decision making concerns only making decisions about when and how it is appropriate to terminate a person’s life. I argue, further, that we should move away from the medicalization of dying.