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dc.contributor.authorGroppa, Octavio
dc.date.accessioned2014-07-18T12:41:55Z
dc.date.available2014-07-18T12:41:55Z
dc.date.issued2014-07
dc.identifier.urihttp://ethique-economique.net
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/10934
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.subjectphilosophyfr
dc.subjectphilosophiefr
dc.subjectethcisfr
dc.subjectéthicsfr
dc.subjectétiquefr
dc.subjecteconomicsfr
dc.subjectéconomiefr
dc.subjectbien communfr
dc.subjectBernard Lonerganfr
dc.subjectpensée sociale catholiquefr
dc.subjectéthiquefr
dc.subjectvaleursfr
dc.subjectAristotefr
dc.subjectThomas d'Aquinfr
dc.titleUna relectura de la noción de bien común y su relación con la economíafr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractThe notion of common good is frequently used in a broad or vague sense. Actually, it is a complex concept which is hard to define. Having been born in a classical era, many authors think it is attached to (and dependent on) a metaphysical mindset which will never be assumed again. To those scholars, the very concept should be abandoned from the standpoint of a modern political or social scientist. In this context, the goal of this work is to offer a reinterpretation of the notion for our times. We revise its origin in the thought of Aristotle and Aquinas, as well as its path in some modern catholic philosophers, such as Rosmini, Taparelli and Pesch. Then, a summary of some contemporary trends related to the issue is offered, namely, the Discourse Ethics, the Capabilities Approach or the Civil Economy. The final section explains the main features of Bernard Lonergan’s treatment of the matter. His notion of good of order and his definition of the structure of the good are presented, ending with some notes on the conditions that an economy should meet to enable an effective realization of the common good, which he developed in his economic writings.fr
dcterms.abstractLa notion de bien commun est souvent utilisée dans un sens large ou vague. En fait, il s'agit d'un concept complexe qui est difficile à définir. Il est né dans une époque classique. De nombreux auteurs pensent qu'il est attaché à (et dépendant de) un état d'esprit métaphysique qui ne sera jamais assumé à nouveau. Pour ces chercheurs, le concept même devrait être abandonné d’un point de vue scientifique, politique ou social moderne. Dans ce contexte, l'objectif de ce travail est de proposer une réinterprétation de cette notion pour notre époque. Nous révisons son origine dans la pensée d'Aristote et Thomas d'Aquin, ainsi que sa lignée chez certains philosophes catholiques modernes, tels que Rosmini, Taparelli et Pesch. Ensuite, un résumé de certaines tendances contemporaines liées à la question est offert, à savoir, l’éthique du discours, l'approche par les capacités ou l'économie civile. La dernière section décrit les principales caractéristiques de la question chez Bernard Lonergan. Sa notion de bien de l’ordre et sa définition de la structure du bien sont présentés. Nous terminons par quelques propos sur les conditions que doit satisfaire une économie pour permettre une réalisation effective du bien commun, tel que développé dans ses écrits économiques.fr
dcterms.descriptionFull Text / Article completfr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1639-1306
dcterms.languagespafr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleÉthique et économique = Ethics and economics
oaire.citationVolume11
oaire.citationIssue2


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