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dc.contributor.advisorGosselin, Frédéric
dc.contributor.authorMorin Duchesne, Xavier
dc.date.accessioned2014-06-09T13:32:12Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2014-06-09T13:32:12Z
dc.date.issued2014-05-20
dc.date.submitted2013-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/10830
dc.subjectVisionfr
dc.subjectWord recognitionfr
dc.subjectReconnaissance de motsfr
dc.subjectLetter recognitionfr
dc.subjectReconnaissance de lettresfr
dc.subjectComputer-assisted demonstrationfr
dc.subjectDémonstration à l'aide d'un programme informatiquefr
dc.subjectReadingfr
dc.subjectLecturefr
dc.subjectLetters in word recognitionfr
dc.subjectRôle des lettres en reconnaissance de motsfr
dc.subject.otherPsychology - Cognitive / Psychologie cognitive (UMI : 0633)fr
dc.titleAre words read by letters? (Lisons-nous par lettres?)fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractIl a été démontré que les mots sont plus faciles à reconnaître lorsque leur moitié inférieure est effacée, laissant leur moitié supérieure intacte, que lorsque leur moitié supérieure est effacée. Si la reconnaissance de lettres sous-tend la reconnaissance de mots tel qu'il est généralement pris pour acquis, alors un tel effet devrait aussi être présent au niveau des lettres, mais ce n'est pas le cas. Le but de ce mémoire a d'abord été d'investiguer cette différence entre lettres et mots et, ensuite, de démontrer que la préférence pour le haut des mots ne peut pas s'expliquer par les lettres. Finalement, nous nous questionnons sur l'existence d'un construit intermédiaire entre lettres et mots et proposons les chaînes lexicales.fr
dcterms.abstractIt has been demonstrated that words are more readily recognized when their lower half has been erased, leaving the upper half intact, than when the upper half has been erased. If letter recognition subtends word recognition as it is so often assumed, then we would expect to find a similar effect with letters, but it is not the case. The goal of this master's thesis has first been to investigate this difference between words and letters and then to demonstrate that the preference for the upper half of words cannot be accounted for by letters. In the end, we look into the existence of a construct between features and words and propose that lexical strings could be that construct.fr
dcterms.languagefrafr


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