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dc.contributor.advisorPiché, Claude
dc.contributor.authorHotes, Maria
dc.date.accessioned2014-03-24T18:44:45Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2014-03-24T18:44:45Z
dc.date.issued2014-03-03
dc.date.submitted2013-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/10376
dc.subjectPhilosophiefr
dc.subjectEmmanuel Kantfr
dc.subjectCriticismefr
dc.subjectIdéalismefr
dc.subjectChose en soifr
dc.subjectPhilosophyfr
dc.subjectImmanuel Kantfr
dc.subjectCriticismfr
dc.subjectIdealismfr
dc.subjectThing-in-Itselffr
dc.subjectKant
dc.subject.otherPhilosophy / Philosophie (UMI : 0422)fr
dc.titleLa chose en soi comme concept «critique» : le problème de la limitation de la connaissance dans la Critique de la raison pure de Kantfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePhilosophiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractDans ce mémoire, nous nous proposons de montrer que le concept kantien de chose en soi est à la fois un concept métaphysique et un concept critique. En ce sens, la chose en soi doit être comprise comme un objet transcendantal réel qui existe à titre de cause des phénomènes. Si, contrairement à ce que soutenaient F.H. Jacobi (1787) et G.E. Schulze (1791), cela ne suppose pas de sortir du criticisme, c'est qu'une telle affirmation prend la forme d'une connaissance analogique qui respecte les limites de la connaissance humaine. De fait, la connaissance analogique permet de pointer en direction de quelque chose dont la nature (Beschaffenheit) peut demeurer problématique, tout en permettant d'affirmer son existence (Dasein). Nous serons dès lors conduite à montrer que la Critique de la raison pure fournit bel et bien les outils nécessaires permettant de rendre compte de l’existence des choses en soi à titre de causes des phénomènes.fr
dcterms.abstractIn the following thesis, we will claim that Kant’s concept of a thing-in-itself is both a metaphysical and a critical concept. Accordingly, the thing-in-itself must be understood as a real transcendental object that grounds phenomena. Thus, we maintain – contrary to F.H. Jacobi’s (1787) and G.E. Schulze’s (1791) harsh objections – that this assertion does not violate the structures of critical philosophy. Indeed, this particular claim is arrived at through analogical cognition, which does not transgress the boundaries of human knowledge: as a matter of fact, analogical cognition allows us to point towards and assert the existence (Dasein) of something the nature (Beschaffenheit) of which may remain problematic. Thus, we believe that Kant’s metaphysical commitment with regard to the existence of the thing-in-itself as ground of phenomena can be fully justified within the Critique of Pure Reason.fr
dcterms.languagefrafr


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